À toi qui navigue le pacifique en tempête,
Pendant les heures solitaires de la nuit,
Toi qui se laisse engloutir par l'océan en fête,
En offrant bouquets des mots à ta femme-folie,
À toi j'adresse ma pensée matinale,
Une chanson improvisée dans une vielle grotte humide,
Ma pensée éparpillée qui veut le bien et le mal,
Vers ta pensée lunaire prostrée aux euménides,
Tout est encore silence,
Même ici dans la grande ville,
La mort demande patience,
Des amours fuyants mais un coeur immobile.




che strani e leggeri, questi passi di vita
passati solraéati, agitati e improvvisati
ma passati
come quel tuo uccelo canterino
che forse parlava d'amore
o d'eterno ritorno (di vino ed autiche politiche)
che forse volava (ridera?)
d'un aprighio al altro
come un aquilone in volo,
morto per istinto.
eppure é passato
inchinandosi al tempo
e tu resti ti,
d'un silenzio lento
ed incolpi
la donnanica
e pensi
alla morte.
ma fuor.
piove